Où se cache le nombre d'or dans la nature ?
Savez-vous où découvrir le nombre d'or autour de vous ? Et d'où vient son nom, Phi ?
C'est le grec Phidias qui l'a matérialisé pour la première fois dans le Parthénon et c'est en son hommage que ce nombre s'appelle Phi.
Cette harmonie est présente depuis toujours dans la nature, et les vacances sont le moment idéal pour partir à sa recherche : vous pouvez l'observer dans la flore notamment dans le coeur de la marguerite et du tournesol.
Les graines constituent deux groupes de spirales orientées vers des directions opposées. En additionnant les spirales dans chaque sens, on observe que le rapport des deux sommes donne 1.618.
Mais aussi dans la faune, notamment à travers les coquillages : le nombre d'or s'agence dans les coquilles de l'ammonite et du nautile, sous la forme d'une spirale logarithmique.
Phi 1.618 s'est d'ailleurs inspiré de la coquille du nautile pour créer ses sacs Philia et Philae.
Il est associé à la suite mathématique de Fibonacci : une suite de nombre entiers dont chaque terme est égal à la somme des deux nombres le succédant. Les spirales de notre ADN respecteraient aussi cette suite !
Les yeux des plumes du paon disposés selon une spirale logarithmique ou encore chez l'étoile de mer qui forme un pentagone régulier directement lié avec cette proportion divine.
Enfin, le nombre d'or fait aussi partie de l'anatomie humaine. On reconnaît la spirale de Fibonacci dans la structure de l'oreille.
Les doigts respectent eux-aussi ces mêmes proportions !
Désormais, vous allez regardez et comprendre votre environnement avec un oeil nouveau !
N'hésitez pas à rechercher à votre tour d'autres êtres vivants aux proportions du nombre d'or. Vous risquez d'avoir des surprises !